Pour conserver la qualité de vie et le bien-être, il est important de maintenir le fonctionnement cognitif et physique, ainsi que les liens sociaux. L’une des préoccupations que beaucoup ont à propos du vieillissement est la perte redoutée de capacités cognitives et l’augmentation des problèmes de mémoire.
Bien que des changements normaux dans le fonctionnement cognitif se produisent avec l’âge, ces changements ne sont généralement pas assez importants pour interférer avec la vie et le fonctionnement quotidiens, et les gens sont capables de trouver des moyens de s’adapter aux changements qu’ils subissent.
Cependant selon des service de maintien a domicile, certaines personnes connaissent des changements plus importants dans leur fonctionnement cognitif et peuvent avoir des difficultés considérables à apprendre de nouvelles choses, à se concentrer, à se souvenir et/ou à prendre les décisions nécessaires dans la vie quotidienne.
Pour ces personnes, leur fonctionnement cognitif est altéré, car il a un impact négatif sur leur capacité à mener à bien les activités de la vie quotidienne, telles que les soins personnels et la gestion des rendez-vous, des médicaments, des finances, etc.
Facteurs de risque préventifs pour la déficience cognitive
Bien qu’il existe divers facteurs de risque de déficience cognitive, certains facteurs de risque évitables sont l’inactivité physique, la dépression, les carences en vitamine B12, l’hypertension et les effets secondaires des médicaments. Ces facteurs de risque modifiables mettent en évidence l’interaction entre la santé physique, la santé mentale et le fonctionnement cognitif, qui influent tous en fin de compte sur la qualité de vie et le bien-être.
Bien que les troubles cognitifs aient un impact sur le fonctionnement cognitif dans la vie quotidienne et puissent influencer la santé mentale, la santé physique peut également être affectée, par exemple, lorsque les instructions de médication ou un mode de vie sain ne sont pas suivis. Une menace moins bien connue pour la santé physique que représente la déficience cognitive est le risque de chute.
Les chutes sont la première cause de blessures chez les personnes âgées
Les chutes sont la principale cause de blessures non intentionnelles, mortelles ou non, chez les personnes âgées. Environ un adulte âgé sur quatre en France fait une chute chaque année ; ce nombre est deux à trois fois plus élevé chez les personnes souffrant de troubles cognitifs.
Les chutes peuvent avoir des conséquences à court ou à long terme, quel que soit l’âge ; cependant, avec l’âge, la possibilité d’une chute entraînant des blessures graves et l’impact sur le fonctionnement et le bien-être futurs est amplifiée, en particulier chez les personnes souffrant de déficience cognitive.
Le risque de chute chez les personnes âgées est plus élevé lorsqu’elles accomplissent des activités quotidiennes de routine (par exemple, les travaux ménagers, les courses, etc.). Les changements physiques normaux qui se produisent dans le corps avec l’âge peuvent être exacerbés par la perte de force et d’équilibre, ainsi que par l’influence de maladies chroniques (telles que la déficience cognitive) et/ou de médicaments, ce qui contribue à l’augmentation du risque de chute.
Pour les personnes souffrant de troubles cognitifs, les déficiences de l’attention et du fonctionnement exécutif (comme la capacité de planifier, de passer d’une tâche à l’autre, d’ignorer des informations non pertinentes, etc.) ont été identifiées comme les plus pertinentes en ce qui concerne l’augmentation du risque de chute.
Il est essentiel de comprendre les risques potentiels et les conséquences à la fois des déficiences cognitives et des chutes afin de prendre des mesures pour promouvoir la qualité de vie et le bien-être.
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